« Dans le contexte économique actuel, faire appel à la solidarité financière est une belle idée. Sur une somme de 300 euros, les deux tiers me seront remboursés par le biais de la défiscalisation. J'ai accepté volontiers de donner car je trouve intéressant de pouvoir décider où j'investis mon argent, notamment pour une cause qui me tient à coeur et à laquelle je crois. C'est en quelque sorte comme si je choisissais où partaient mes impôts. J'ai connu l'époque du plein emploi, je n'ai jamais été confronté au chômage. Je me sens redevable. Ce n'est pas de la charité, c'est de la solidarité. De plus, ces emplois créés vont combler des manques là où le secteur marchand n'intervient pas. Ils contribueront au bien-être collectif ».

« Je suis gérant d'un centre de formation pour adultes. Notre public cible est le demandeurs d'emploi et les personnes peu, voire très peu, qualifiées que nous formons aux métiers du bâtiment et des travaux publics avec l'objectif de les remettre à l'emploi. Nous travaillons beaucoup en lien avec le monde de l'insertion socio-professionnelle et je vois l'énorme travail qui est fait dans ce domaine. On ne peut pas évoluer dans le milieu qui est le mien et qui me passionne sans avoir des valeurs humanistes. C'est la raison pour laquelle j'ai voulu soutenir financièrement la Fondation du Dunkerquois Solidaire. Cela fait partie des valeurs mon entreprise et il me semblait de mon devoir de contribuer, aussi modestement soit-il, à faire baisser le chômage sur notre agglomération. J'ai souhaité y associer le club d'entreprises de Coudekerque-Branche dont je suis président parce que j'y trouve aussi beaucoup de valeurs d'humanisme et d'entraide. Nous sommes tous sensibilisés à la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) au travers des "Jeudis de la RSE" que nous organisons plusieurs fois par an. Je suis très fier que le premier club d'entreprises à être donateur pour la Fondation soit celui de Coudekerque-Branche ».